Une partie des données volées lors de la cyberattaque dont a été victime l’université de Neuchâtel font les beaux jours du darknet. Les étudiant·es sont peu concerné·es.
Les attaques de phishing ont visé des journalistes du site d’investigation Bellingcat, qui a enquêté sur l’empoisonnement de l’ex-espion russe Sergeï Skripal au Royaume-Uni.
En Suisse, sept entreprises, parmi lesquelles la régie publicitaire Admeira, ont été touchées par un rançongiciel plus sophistiqué que le précédent WannaCry.
"Aucune réflexion n'est menée pour anticiper les problèmes malgré le réservoir de personnes compétentes dont dispose notre pays", déplore un spécialiste.