Après l’accident mortel survenu à Prilly-Malley, le syndicat Unia et la Fédération vaudoise des entrepreneurs appellent à une meilleure responsabilisation sur les chantiers.
Vendredi dernier à Prilly, l’effondrement d’un échafaudage a causé la mort de trois ouvriers. Le caractère spectaculaire de l’événement a stupéfait au-delà de la Suisse romande. De nombreux...
Un échafaudage de 60 mètres de haut s’est effondré d’un immeuble en construction dans l’Ouest lausannois vendredi matin. D’après la police, l’accident aurait fait au moins trois morts et huit...
Un échafaudage de 60 mètres s’est effondré d’un immeuble en construction, vendredi matin, dans la commune de l’Ouest lausannois. Le bilan est lourd: trois ouvriers décédés, huit blessés, et des...
Le Conseil fédéral a ouvert une consultation dans le cadre d’une révision de la loi sur l’aménagement du territoire pour limiter la croissance du nombre de bâtiments hors de la zone à bâtir.
L’Office cantonal de l’inspection et des rapports du travail a rappelé à quelque 3300 entreprises les risques encourus par leur personnel exposé à des températures négatives.
Les métiers du second œuvre de Suisse romande obtiennent un renchérissement et une légère hausse de salaire dans la Convention collective de travail qui entrera en vigueur en 2024.
Construits dans l’urgence pour juguler des effectifs scolaires en hausse, les pavillons des écoles des Allières aux Eaux-Vives et de Trembley au Petit-Saconnex ont fait leur rentrée.
Les partis bourgeois veulent limiter le droit de recours des organisations environnementales pour les «petits» projets de construction de logements à l’intérieur de zones à bâtir.
Avec l’appui des syndicats, les ouvriers demandent aux autorités politiques de trouver des solutions pour leur avenir professionnel après le dépôt de bilan de l’entreprise.
L’entreprise D’Orlando, qui employait quelque 160 personnes, a mis la clé sous la porte. Les syndicats exigent une solution pour les ouvriers laissés sur le carreau.
L’association des habitant·es des Pâquis a dénoncé jeudi un immeuble vide depuis deux ans, «un luxe que nous ne pouvons pas nous permettre face à la pénurie de logements».
Après les grèves des maçons cet automne, il a fallu neuf rounds de négociations pour aboutir à une convention qui sera valable dès le 1er janvier, pour trois ans.