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Mémoire et résistance

Aujourd’hui plus que jamais, les rencontres cinématographiques palestiniennes viennent rappeler que «filmer c’est exister». Rencontre avec deux piliers du festival genevois.
Avec la collection de courts métrages "Gaza Stories", le cinéaste palestinien Iyad Alasttal entend montrer Gaza, «non pas comme un champ de ruines, mais comme un territoire habité, vibrant et résilient». DR
Palestine, Filmer c’est exister

Genève abrite le premier festival de films palestiniens de la sphère francophone. Fondées en 2012, les rencontres cinématographiques ­Palestine: Filmer c’est exister (PFC’E) font entendre la voix du peuple pales­tinien à travers son cinéma. Entamée mercredi, leur 14e édition court jusqu’à dimanche. Elle réunit vingt films qui font dialoguer plusieurs générations de cinéastes, questionnent la […]

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