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«Je ne m’attendais pas à autant de violences»

Dans le cadre de sa thèse, Giorgia Magni s’est penchée sur les violences de genre entre personnes étudiantes à Genève.
Plus de deux tiers des violences recensées lors du questionnaire soumis par Giorgia Magni se sont déroulées dans les bâtiments universitaires, principalement dans les couloirs et le hall, mais également à la bibliothèque, dans des salles de classe vides et à la cafétéria. KEYSTONE-PRÉTEXTE
Université de Genève

Les violences de genre touchent toutes les facultés de l’université de Genève, mais sous des formes différentes.  Selon les disciplines, les discriminations sont  frontales ou insidieuses. Giorgia Magni, maître-assistante à la Faculté de psychologie et des sciences de l’éducation, vient de terminer une thèse sur le sujet. Elle nous détaille les conclusions de sa recherche. […]

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