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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Mise en scène huée, musique saluée

Le Grand Théâtre de Genève achève sa saison avec une Traviata qui divise. Une incarnation parmi les plus emblématiques du sacrifice féminin thématisé cette année par la maison lyrique.
La mise en scène de Karin Henkel bouscule la structure de l’opéra de Verdi, en s’ouvrant sur l’enterrement de Violetta. CAROLE PARODi
Opéra

Salle comble pour la première de La Traviata samedi dernier au Grand Théâtre de Genève (GTG), qui a dédié sa saison au sacrifice. Le public répond présent pendant que, sur la place du théâtre, retentissent les slogans de la grève féministe. Et quand le rideau se lève sur la halle au carrelage morne et aux […]

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