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Le Courrier L'essentiel, autrement

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Tracey Rose, corps de combat

A Berne, le Kunstmuseum présente «Shooting down Babylon», une importante rétrospective consacrée à l’artiste sud-africaine née en 1974. Un corpus à la dimension politique affirmée.
Tracey Rose, corps de combat
Tracey Rose, le corps enduit de peinture rose et ne portant qu’une culotte, une perruque et des bottes, interprète dans San Pedro V: «The Hope I Hope, The Wall» (2005), l’hymne national israélien à la guitare électrique au pied du mur séparant Israël de la Cisjordanie. COURTOISIE DE TRACEY ROSE
Art

Elle sait bousculer son corps et nos méninges, Tracey Rose. Très vite dans «Shooting down Babylon» – soit la plus grande rétrospective qui ait été consacrée à ce jour à l’artiste sud-africaine (née en 1974), à voir actuellement au Kunstmuseum Bern (KMB) mais montée par le Zeitz Museum of Contemporary Art Africa (MOCAA) au Cap, […]

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