Arts plastiques Tracey Rose, corps de combat A Berne, le Kunstmuseum présente «Shooting down Babylon», une importante rétrospective consacrée à l’artiste sud-africaine née en 1974. Un corpus à la dimension politique affirmée. mercredi 17 juillet 2024 Aurélie Lebreau Tracey Rose, le corps enduit de peinture rose et ne portant qu’une culotte, une perruque et des bottes, interprète dans San Pedro V: «The Hope I Hope, The Wall» (2005), l’hymne national israélien à la guitare électrique au pied du mur séparant Israël de la Cisjordanie. COURTOISIE DE TRACEY ROSE Art Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste