C’est une Biennale toute en «P», en accord avec le nom de son commissaire, le Brésilien Adriano Pedrosa. Avant tout parce qu’elle est politique, les élans décoloniaux étant omniprésents, autant que les envies de s’affranchir de la binarité côté genre, avec de bonnes doses d’intersectionnalité. Un «P» qui est aussi celui de passé, les regards […]
Venise, cette ville-monde
Abstraction faite de son étouffante forêt de peintures, la Biennale de Venise d’Adriano Pedrosa, décentrée, décoloniale et queer, réserve de bonnes surprises.
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