Vaud

«Pour un repas à trois francs»

Pour Jean-Nicolas Rosset, membre du syndicat SUD Etudiant·es et Précaires, la précarité étudiante est encore trop présente et se creuse avec l’inflation. Il plaide pour une réduction des prix dans les cafétérias.
«Pour un repas à trois francs»
Pour Jean-Nicolas Rosset, si les repas étaient à 3 francs beaucoup plus d’étudiant•es se rendraient à la cafétéria. KEYSTONE
Université de Lausanne

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