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Un enfer bancaire avant d’hériter

Après le décès de sa mère en Espagne, un Genevois a toutes les peines du monde à toucher son dû déposé dans une banque suisse qui semble faire preuve d’un «formalisme excessif».
Un enfer bancaire avant d’hériter
Pour Me Karin Etter, avocate de Patrick, «la banque s’est substituée à l’Etat en exigeant que le bien soit inscrit sur la déclaration d’héritiers espagnole. Ce n’est pas son rôle». KEYSTONE
Témoignage

Il aura fallu une année et demie, une avocate et peut-être des questions posées par Le Courrier pour que Patrick* puisse enfin commencer à toucher une partie de son héritage déposé dans une banque suisse. Alors que la succession est enfin réglée depuis quelques jours, il a tenu à témoigner de son expérience et à […]

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