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Bombe à retardement

Invisibles et présents partout, les micro et nanoplastiques peuvent s’introduire dans les organes des êtres vivants et sont potentiellement dangereux. Des alternatives existent. Interview.
Bombe à retardement 2
Les 50 tonnes de microplastiques qui s’accumulent chaque année dans le lac Léman viennent des vêtements en fibre synthétique et émis lors des lavages. KEYSTONE
Microplastiques

La pollution plastique est partout, dans l’eau, les aliments, nos maisons, et nos organismes. «Aucun être vivant n’a les outils biologiques pour digérer ce plastique», alerte la chercheuse Nathalie Gontard. Heureusement, des alternatives existent, explique la directrice de recherche à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) de Paris. Autrice de l’ouvrage […]

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