Des œillets. «Des plantes qu’il traitait comme des êtres humains.» Quoique arrosés au Portugal, ces œillets-là ne sont pas ceux de la révolution éponyme qui a fait basculer le pays il y a cinquante ans, le 25 avril 1974. C’est ceux du vieux Celestino, mis en scène par Djaimilia Pereira de Almeida dans Trois Histoires […]
Trois destins
Dans Trois Histoires d’oubli, Djaimilia Pereira de Almeida brosse autant de trajectoires marquées par le passé colonial de l’Angola.

Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné?
Accès 1 jour
3.-