Douze mille cinq cents takas, soit environ 117 francs. C’est, depuis le 1er janvier, le montant du salaire minimum appliqué aux près de 4 millions d’ouvrier·ères, en majorité des femmes, qui travaillent dans l’industrie textile bangladaise. L’automne dernier, la première ministre, Sheik Hasina, avait employé la méthode forte pour imposer ce barème, inférieur au seuil […]
Faire pression sur les marques
Malgré une répression violente, les syndicats bangladais continuent leur lutte pour garantir un salaire digne aux 4 millions d’ouvrier·ères du textile. Ils dénoncent l’hypocrisie des grandes marques.

Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné?
Accès 1 jour
3.-