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Tes droits, mes droits

Zully Faralli rappelle que les gouvernements ont aussi la responsabilité et l’obligation de respecter et garantir les droits humains de leurs citoyens.
Droit

Tous les êtres humains, du fait de leur appartenance à l’humanité, auraient dû fêter le 10 décembre «les droits humains fondamentaux». C’est un jour de mobilisation pour protéger, prévenir, promouvoir, respecter les individus des injustices. Et rappeler que les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et qu’agir dans un esprit de fraternité est extrêmement important.

Oui, nous les Homo sapiens, datons d’entre 195 à 160’ 000 ans. A l’heure actuelle, notre évolution est toujours entravée par divers facteurs tels que l’ignorance, la diversité culturelle, les préjugés et les discriminations, la pauvreté mondiale et la migration. En effet, nous sommes toujours précaires dans ce domaine, notre évolution ne nous a pas encore donné le privilège de vivre en harmonie. C’est certainement, l’interconnexion des enjeux des ces facteurs qui rendent la protection des droits humains plus complexe.

A cet égard, impliquons-nous à préserver et renforcer la dignité humaine au quotidien avec des actions simples mais significatives qui idéalisent un monde de liberté, d’égalité et de fraternité. Ceci est une perspective fondamentale dans la théorie des droits humains car faut-il rappeler que les droits ne sont pas conférés par l’État mais sont reconnus et protégés par celui-ci. Bien que les individus soient responsables de leurs valeurs sociales, les gouvernements ont aussi la responsabilité et l’obligation de respecter, protéger et garantir les droits humains de leurs citoyens.

Zully Faralli,
Neuchâtel

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