Skip to content

Le Courrier L'essentiel, autrement

Je m'abonne

Sarah Bernhardt, fauve qui peut

Dans un très beau roman, Régine Detambel dresse un portrait vif de la grande tragédienne française, disparue il y a cent ans.
Sarah Bernhardt, fauve qui peut
Pour le centenaire de sa disparition, la tragédienne triomphante fait l’objet de ce portrait romanesque mais aussi d’une exposition au Petit Palais de Paris, jusqu’en août. KEYSTONE
Roman

Une voix. La voix de Sarah Bernhardt. Elle résonne de la première à la dernière page du roman, aiguë et grave, apprivoisée et sauvage, confiante et désespérée, tendre et colérique. Celle qui la porte est une femme fantasque en diable, qui souhaite qu’on lui greffe une queue de tigre; qui accepte également de voyager dans […]

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné?

Abonnez-vous
A partir de 9.50 / mois
je m'abonne
Accès 1 jour
3.-