Faut-il parler au porte-monnaie des autorités pour obtenir d’elles une écoute bienveillante vis-à-vis des jeunes requérant·es d’asile débouté·es vivant dans le canton de Genève? Les arguments politiques, humains et sanitaires ont été mille fois énoncés. Cette fois, il est question d’argent. Et plus précisément du coût économique pour la collectivité de maintenir ces personnes à l’aide […]
Le prix de l’interdiction de travailler
Sur dix ans, le coût du maintien à l’aide d’urgence de 32 jeunes requérant·es d’asile débouté·es à Genève dépasserait 13 millions de francs, selon une étude universitaire
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Accès 1 jour
3.-