Le Conseil d’Etat a déposé un projet de loi qui vise à sanctionner les pratiques visant à modifier ou réprimer l’orientation affective, sexuelle ou l’identité de genre.
En choisissant la voie administrative, le gouvernement genevois se détache de ce qu’ont décidé de mettre en œuvre d’autres
cantons sur ce sujet. «Neuchâtel a pris la voie pénale, plus lourde et complexe», estime Mauro Poggia. JPDS