Actuellement, les plus gros·ses actionnaires de Genève ne sont que partiellement taxé·es sur leurs dividendes. Le peuple dira le 12 mars s’il veut une imposition totale.
Selon Jean-Luc Ferrière, cosecrétaire général du SIT et cosignataire de l’initiative, "les bénéfices sont de moins en moins investis dans l’économie réelle et qu’ils finissent toujours plus dans les poches des actionnaires". KEYSTONE