Les sourd·es et les malentendant·es verront leur langue inscrite dans la loi. La reconnaissance doit permettre de mieux lutter contre les discriminations. Interview.
La langue des signes est liée à l’identité et est à la base d’une culture spécifique, explique André Marty. Photo: manifestation à l'occasion de la Journée mondiale des personnes sourdes, samedi 22 septembre 2018, à Genève. KEYSTONE