Musique Derya Yıldırım, un spleen de miel Elle chante et joue du baglama dans un groupe qui revisite depuis l’Allemagne les standards anatoliens des années septante. Tandis que sort DOST 2, album addictif, elle renoue à Istanbul avec ses racines. jeudi 13 octobre 2022 Roderic Mounir «Quand je chante en Turquie, il y a comme une lumière qui s’allume.» CELESTE CALL Portrait Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste