Parler de la retraite des plasticien·nes, c’est avant tout pointer sa quasi inexistence: les artistes qui mettent un terme à leur pratique vers 65 ans sont extrêmement rares. «Si on a la chance de pouvoir faire des choses et en vivre, comme dans mon cas, on ne voit pas vraiment ce qui pourrait nous arrêter, […]
L’art, c’est pour toujours
Face B de la vie active, la retraite intéresse rarement les plasticien·nes, réfractaires à séparer art et vie. Même en maison de repos.
Autour de l'article
Arts plastiques
Marion Baruch. Le temps d’une vie
A Lucerne, la plasticienne nonagénaire emplit le vide autant qu’elle évacue le plein. Des œuvres magistrales.