Malgré l’opposition des formateurs et formatrices et le vote d’une motion par le Parlement, le Conseil d’Etat va de l’avant avec la réforme et refuse d’ouvrir des négociations.
Les formateurs et formatrices consultantes en promotion et éducation de la santé, venu·es vendredi devant l’Hôtel de Ville (comme le 22 mars dernier, photo), ont dix jours pour signifier leur intérêt ou non à leur nouvelle fonction, sans quoi le licenciement prévaudra. JPDS