A l’approche du Mondial de football, le Qatar a éliminé la kafala, système de parrainage abusif des migrant·es par le patronat. Mais d’autres mécanismes contribuent à asservir cette main-d’œuvre.
Malgré les réformes annoncées avant la Coupe du monde, ces travailleurs étrangers qui prennent une pause dans une rue de Doha,
la capitale du Qatar, continuent d’être à la merci de leur employeur. SEBASTIAN CASTELIER