Genève

Gérer l’urgence et penser les lendemains

Le canton doit développer ses capacités de logement d’urgence pour faire face à l’afflux d’arrivant·es en provenance d’Ukraine. Et penser déjà une intégration sur le long terme.
Gérer l’urgence et penser les lendemains
«Dans une dizaine jours nous n’aurons plus de lits à offrir», calculait vendredi le directeur de l’Hospice général, Christophe Girod (à côté du conseiller d'Etat Thierry Apothéloz). KEYSTONE
Guerre en Ukraine

Pour lire la suite de cet article

Vous êtes déjà abonné? Connexion

Abonnez-vous
A partir de 9.50 / mois
je m'abonne
Accès 1 jour
3.-

Connexion