International Régiment d’Azov surévalué Le groupe paramilitaire sert de justificatif aux Russes, même si son orientation néonazie s’est diluée depuis 2014. Son influence sur le front et la société est pourtant à relativiser. mardi 15 mars 2022 Thierry Jacolet Une femme s’entraîne au maniement des armes avec le régiment d’Azov, à Marioupol, le 13 février. Dans un contexte de guerre, l’activité des groupes paramilitaires dans la rue a été tolérée par l’Etat ukrainien. KEYSTONE Russie-Ukraine Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste