Le groupe paramilitaire sert de justificatif aux Russes, même si son orientation néonazie s’est diluée depuis 2014. Son influence sur le front et la société est pourtant à relativiser.
Une femme s’entraîne au maniement des armes avec le régiment d’Azov, à Marioupol, le 13 février. Dans un contexte de guerre, l’activité des groupes paramilitaires dans la rue a été tolérée par l’Etat ukrainien. KEYSTONE