La conseillère d’Etat Anne Emery-Torracinta tient à réaffirmer au Courrier qu’elle ne savait rien des maltraitances au foyer de Mancy avant le 29 mars 2021.
En tant que «cheffe du DIP, citoyenne et mère» d’une enfant souffrant d’autisme, Anne Emery-Torracinta dit son émotion et endosse la responsabilité politique des dysfonctionnements constatés. KEYSTONE