Au cœur de Bornéo, une mine de charbon détenue à 49% par une firme suisse est responsable de destruction de la forêt pluviale et de violations des droits des indigènes, selon une ONG.
Le peuple autochtone Dayak n’est pas prêt à laisser la mine de charbon détruire son territoire. La résistance s’organise sur place, avec des barrages sur la route d’accès. BMF