On nous écrit

Notre planète va à la dérive

Thierry Cortat milite pour une action citoyenne des peuples de la planète face aux bouleversements environnementaux.
Environnement

Dernièrement, un rapport du GIEC fait état d’une évolution alarmante de notre planète.

Déforestations massives, acidification exponentielle des océans, avancée des déserts, accroissements de la faim dans le monde dû à l’augmentation des inégalités, état sanitaire de la planète déficient, pour preuve le développement du Covid-19 et de ses variants. Tout cela est dû à une mauvaise gestion de la Terre et de ses ressources.

Une trop grande place est occupée par le tout à l’économie quantitative; alors que l’on devrait réduire drastiquement l’économie du tout jetable. Aujourd’hui, le monde économique devrait retrouver une utilisation vertueuse des ressources de la terre.

Or, ce n’est pas à cela que l’on assiste, mais à un gaspillage des bienfaits procuré par la Terre. Tout cela est le résultat d’un besoin maladif d’accumuler des richesses matérielles. Alors que l’on devrait s’orienter plutôt vers une économie axée sur le domaine qualitatif et humain.

Si la planète est actuellement dans un état désastreux, c’est par le manque de transparence de l’économie planétaire entre les mains d’une minorité d’acteurs non élus démocratiquement. La politique conventionnelle a largement échoué dans des palabres stériles face à un problème majeur. L’écologie doit devenir l’affaire de tous, et ne pas rester l’apanage de politiciens en mal de gloire.

Les peuples de la Terre ne devraient plus être passifs face aux défis qui s’imposent à nous, car la facture des catastrophes présentes et à venir s’annonce salée. Il ne faut plus perdre de temps et partir vers une action citoyenne et intelligente pour le bien de tous, parce notre monde ne doit pas aller à la dérive.

Thierry Cortat, Delémont

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