LafargeHolcim entretenait des relations étroites avec le MEHL, un conglomérat contrôlé par l’armée birmane. Le cimentier affirme n’avoir plus d’activités dans le pays. Mais sa filiale n’a pas disparu.
Les sourires de 2014, lors de l’arrivée de Lafarge en Birmanie, ne sont plus de mise. Le cimentier, fusionné depuis avec Holcim, assure ne plus collaborer avec les conglomérats propriété des chefs de la junte. UMA/Facebook. Keystone