Il faudra en premier lieu saluer la patience et le talent du traducteur, Renato Weber, qui ne défaille pas devant le plaisir que prend l’écrivain à jouer avec les langues, qu’elles soient helvètes ou se montrent plus anciennes, à l’instar du latin. Ensuite viendra l’hommage à Giovanni Orelli, décédé en décembre 2016 à Lugano, qui livrait […]
Un écrivain de haut vol
Avec un style vraiment personnel et une liberté folle, Giovanni Orelli raconte dans Les Myrtilles du Moléson les petits riens qui deviennent prétextes à de grandes envolées lyriques et érudites.

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