L’art brut déborde le cadre
La Collection de l’art brut présente «L’art brut s’encadre», soit une carte blanche à son ancien directeur, Michel Thévoz. De haut vol. A (re)voir dès mardi prochain, à la réouverture des musées.

Lausanne
Interroger la notion de cadre, qu’il soit concret ou métaphorique? C’est le thème qu’a choisi l’historien de l’art Michel Thévoz, à qui la Collection de l’art brut a offert une carte blanche pour monter une exposition temporaire, «L’art brut s’encadre» (le titre peut se lire aussi «sans cadre»), issue du gigantesque fonds du musée lausannois, vaste de plus de 70’000 œuvres. Celui qui a dirigé la Collection de son inauguration
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