Sur décision du Conseil fédéral, dès le 1er janvier prochain, il ne sera plus possible d’exporter des pesticides contenant du paraquat ou de l’atrazine.
Ces dernières années, le commerce international de pesticides dangereux s’est retrouvé toujours plus souvent sous le feu des projecteurs. Comme la multinationale Syngenta, qui continue de produire un herbicide à base de paraquat pour l'exportation. KEYSTONEAgriculture
Il ne sera plus possible d’exporter des pesticides contenant du paraquat ou de l’atrazine. Le Conseil fédéral a adapté mercredi l’ordonnance sur la réduction des risques liés aux produits chimiques en ce sens. Trois autres produits phytosanitaires «particulièrement problématiques» sont également concernés. L’ordonnance révisée entrera en vigueur le 1er janvier 2021. L’exportation de préparations contenant […]
Le 29 novembre 2020, les Suisses ont voté sur l’initiative populaire «Entreprises responsables - pour protéger l’être humain et l’environnement». Un dossier que Le Courrier suit depuis de...
Pour le compte de 51 paysans indiens intoxiqués par des pesticides, Public Eye et d’autres ONG actionnent une procédure d’arbitrage de l’OCDE. Parallèlement, une plainte en justice est déposée.
Une enquête dénonce l’exportation de produits toxiques interdits en Europe par l’industrie phytosanitaire vers des pays vulnérables. Le géant suisse Syngenta est pointé du doigt.
Des pesticides extrêmement dangereux comme l’atrazine et la paraquat sont vendus par tonnes au Brésil par la firme agrochimique suisse.
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