En ces temps incertains, les musées d’art se replient sur leurs collections et un public local. Risquées, les grandes expos onéreuses n’ont plus la cote. Tant mieux?
Obtenir des prêts internationaux est devenu complexe. Ceux de l’exposition «Kiki Smith. Hearing You with My Eyes», vernie jeudi dernier au MCBA de Lausanne, ont été sollicités avant la crise sanitaire. KEYSTONE