«On espère que ça se règle vite!». Carole Gretillat est coiffeuse à Neuchâtel. Son salon, franchisé d’une grande marque, est plongé en pleine incertitude depuis la fermeture forcée de tous les commerces non essentiels depuis lundi matin. «La première chose que j’ai faite a été de me renseigner sur la réduction du temps de travail. […]
L’appel à l’aide des PME
L’arrêt forcé plonge d’innombrables entreprises dans le flou. Les 10 milliards promis ne suffiront pas.

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