Scène

Un «Bal Masqué» au classicisme excessif

Sobriété, dépouillement, théâtre «à l’ancienne»: le dernier spectacle du règne de Tobias Richter, très bien dirigé par Pinchas Steinberg au Grand Théâtre de Genève, se veut fidèle au livret mais paraît daté dans son esthétique.
Un «Bal Masqué» au classicisme excessif
Les décors massifs de Ricardo Pedruzzi offrent un bel espace de jeu. CAROLE PARODI
Grand Théâtre

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