Les militants libéraux-radicaux se sont prononcés mardi soir sur la confiance à accorder à leur conseiller d’Etat. Extrêmement divisé, le parti perd sa présidence.
Avant le vote, Pierre Maudet a fait valoir ses douze ans aux exécutifs de la Ville et du canton qui, selon lui, ne «peuvent être effacés d’un trait». JEAN-PATRICK DI SILVESTRO