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Le cap de bonne espérance

Artiste hors normes, le Sud-Africain Nakhane a troqué la liturgie chrétienne contre une identité fluide et une musique pop-soul-electro transcendante. Entretien.
Le cap de bonne espérance
Nakhane, des graves feulés et des aigus frissonnés à la manière de Bowie. DR
Festival de la Bâtie

Enfant, il a vécu ses premiers vertiges en église avec le Messie de Händel et le Requiem de Mozart, chantés par sa mère et ses sœurs dans des chœurs d’une soixantaine de voix. Il a ingurgité pêle-mêle Patti Smith, Nina Simone, Leonard Cohen, Sonic Youth, Morrissey, Radiohead, Rufus Wainwright, s’assumant peu à peu comme artiste […]

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