Le gouvernement vaudois veut tester des méthodes de désherbage alternatives afin de renoncer dès 2022 à l’utilisation de cette substance sur ses domaines viticoles, agricoles et arboricoles.
Le Conseil d’Etat veut assumer ses responsabilités environnementales et sanitaires en s’appuyant sur le principe de précaution et son devoir d’exemplarité. KEYSTONE/PHOTO PRETEXTE