Le LEB, une ligne à surveiller
Le Lausanne-Echallens-Bercher doit gérer sa croissance sous l’œil inquiet de l’Etat.

Transport
Ne parlez pas de «mise sous tutelle» du LEB aux différents protagonistes. Vu de loin, ça y ressemble, mais le terme serait trop fort. Il s’agit, dans un langage plus bureaucratique, d’un monitoring. Depuis début février, l’activité du Lausanne-Echallens-Bercher est ainsi étroitement surveillée par l’administration cantonale. La Direction générale de la mobilité examine des rapports bimensuels sur les couacs qui surviendraient sur la ligne. Ce régime spécial a été installé
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