Renouer le dialogue avec les éleveurs
L’antispéciste Virginia Markus veut convertir les producteurs de lait aux cultures vivrières. Rencontre.

Animaux
Le rendez-vous est fixé au Végé Café, à Lausanne. Caisses de fruits y côtoient étals de vin et de bière. Ici, Virginia Markus se sent à l’aise: «Je ne sors pas beaucoup. Et les restaurants ou autre lieu de foule, ce n’est pas trop mon truc», relève-t-elle devant un thé menthe. La militante antispéciste de 28 ans mange végan, bio et local au possible. Son apparence tranquille et son sourire
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