C’est l’aboutissement d’une lutte de plusieurs années pour obtenir réparation. Les premières personnes dont la vie a été gâchée par des placements forcés ou d’autres mesures abusives ordonnées par les cantons et les communes jusqu’en 1981, commencent à recevoir une indemnisation symbolique pour le tort subi. Mais sur les 12 000 à 15 000 victimes estimées, seules 4581 […]
Un appel mal entendu
Seuls 4581 ex-enfants placés, sur les 12 000 à 15 000 prévus, ont fait valoir leur droit à l’indemnisation.
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