Faux-semblants façon Ozon
Le cinéaste français se prend pour David Cronenberg avec «L’Amant double», un thriller psycho-sexuel alambiqué qui frise le ridicule.

François Ozon est un petit génie. De film en film, éclectique et prolifique, il s’empare avec brio des genres les plus divers – de la comédie musicale (8 Femmes) au fantastique (Ricky), avec une prédilection pour les thrillers en eaux troubles. Dix-septième long métrage du cinéaste, rentré bredouille de la compétition cannoise, L’Amant double en est un, de la veine érotique et psychanalytique, sur le thème fascinant de la gémellité. Pastiche de
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