Pas de quoi effrayer les propriétaires
Le droit de préemption, soumis aux urnes le 12 février, est peu utilisé par les cantons qui en disposent.

Diabolique, le droit de préemption? A entendre les milieux immobiliers, cet outil prévu dans la nouvelle loi vaudoise sur le logement (LPPPL), soumise aux urnes le 12 février, est à craindre comme la peste. En cas de oui, les communes pourraient ainsi interférer dans la vente d’un terrain (bâti ou non) entre deux acteurs privés et l’acquérir en priorité, dans le but de créer des logements d’utilité publique. Pour ses partisans,
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour