Ecrire une vie
La Distance de fuite de Catherine Safonoff ressaisit dans une langue précise et limpide toute la densité d’existence du quotidien.

La clarté de l’expression accompagne toute l’œuvre de Catherine Safonoff. Depuis La Part d’Esmé (1977) qui la révéla, jusqu’au tout juste paru La Distance de fuite, la Genevoise née en 1939 a fait de la précision du propos une condition de la vérité intime que ses livres mettent en récit. Plus encore, dire de la manière la plus juste rejoint une conception éthique de la vie et prédispose au bien.
Pour lire la suite de cet article
Vous êtes déjà abonné? Connexion
Testez-nous
3.- pour un jour