Lorsqu’elle entre en scène, seule, vêtue d’une jupe et d’un chemisier bariolé, longue chevelure noire et parues indiennes, son humilité frôle l’effacement. Pura Fé s’assied, et là, guitare «lap steel» jouée à plat sur les genoux, le temps se suspend. De sa silhouette faussement menue s’élève un chant bouleversant, un blues profond empreint de spiritualité […]
Pura Fé a fait vibrer la corde native à l’Echandole

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