Œdipe, Hitchcock et Hollywood
Lorsqu’il s’agit de parler de la psychiatrie au cinéma, et notamment d’Hitchcock, Mireille Berton est intarissable («je vous écris six articles sur La Maison du Dr Edwardes, si vous voulez!»). Chargée de cours à la section Histoire et esthétique du cinéma à l’université de Lausanne, elle étudie la représentation de la psychiatrie et des discours médicaux autour de la folie ou encore la posture du spectateur. Entretien.