Scène La bête consciente THÉÂTRE – A l’Arsenic, la définition mutante de l’humain par Marielle Pinsard fait l’objet d’une quête-limite à l’esthétique troublante. mardi 12 janvier 2010 Antoinette Rychner Pour lire la suite de cet article Vous êtes déjà abonné? Connexion Abonnez-vous A partir de 9.50 / mois je m'abonne Accès 1 jour 3.- Je teste