L’entreprise justifie la réduction de budget d’environ 17% par la baisse progressive de la redevance médias, le recul des recettes publicitaires et la hausse des prix.
Le Courrier organisait mercredi soir un débat sur le sauvetage de la presse romande, avec notamment les représentants des principaux quotidiens. Enjeux.
La branche alémanique de la radio-TV suisse va supprimer ces prochains mois 75 postes équivalents plein temps, sans lien avec la baisse de la redevance annoncée par le Conseil fédéral.
Une centaine de personnes travaillant pour les titres romands du groupe se sont réunies jeudi devant les locaux de la Tribune de Genève et de 24 heures.
La Radio Télévision Suisse annonce qu’elle envisage de supprimer 55 postes équivalents temps plein. En cause: la baisse des recettes commerciales et l’inflation.
Tamedia, éditeur alémanique de 24 heures, Tribune de Genève et du Matin Dimanche, biffe 290 postes et priorise quatre titres appelés à devenir les «marques du futur».
Pour le Conseil suisse de la presse, qui publie des «lignes directrices» en matière d’IA, les journalistes doivent vérifier les contenus comme pour des sujets traditionnels.
Face aux problèmes économiques de la presse, les solutions régionales sont esquissées. Fribourg ouvre son porte-monnaie, une motion est déposée à Neuchâtel.
La RTS a déposé une plainte pénale pour usurpation d’identité suite à de faux articles sur internet mettant en scène ses présentateurs Philippe Revaz et Mehmet Gultas.