Trois anciens employé·es du Bureau de contrôle des chantiers demandent quelque 2 millions et demi de francs au titre d’arriérés de salaire. Des griefs et des sommes contestées.
La conciliation entre Solidarités et son ex-secrétaire a abouti sur un accord financier et la publication d’un communiqué commun dans lequel le parti s’excuse pour les torts subis.