Portraitiste assidue, la seule photographe genevoise d’actualités est une professionnelle méconnue. A l’image, parfois, des personnes qu’elle immortalise.
Documentariste, photographe, journaliste, elle est désormais écrivaine et refuse de voir les questions sociales sombrer dans le marais de l’indifférence.
Dans sa trilogie Cyclone, l’écrivaine de théâtre et metteuse en scène raconte le combat de femmes entre Moyen-Orient et Occident. Le premier volet, Chaos, est à l’affiche à Genève.
L’illustratrice cosigne avec Fabrice Melquiot un album, Polly, aux couleurs sonores, aux accords tristes et optimistes. Conversation dans son atelier genevois.
A 70 ans, la sculptrice genevoise Mireille Fulpius est une femme des bois accomplie. A Môtiers ou ailleurs, elle trouble et envoûte avec une grammaire plastique rythmée.
A la tête de l’ensemble musical contemporain Contrechamps, il veut cultiver la convivialité et le décloisonnement. Citoyen genevois après une décennie londonienne, il a pour lui une souplesse à toute...
Pianiste classique, le compositeur français casse les codes du rap en l’associant à son instrument. Après un premier album solo, il était au Montreux Jazz Festival la semaine dernière. Virtuose.
A l’aide de brefs scénarios interprétés par des tiers, la discrète artiste franco-suisse réordonne le réel. A Môtiers, elle inocule une présence étrangère dans le village.
Le rappeur skateur genevois s’émancipe et sort son premier album, Mektoub. Ses racines algéro-marocaines enlacent les rythmes trap et reggaeton, son verbe allie frime et profondeur.
Kate Reidy, la codirectrice du festival Black Movie sera la nouvelle cheffe du Service culturel de la Ville de Genève. Retour sur son parcours atypique, qui commence dans les squats.
La metteuse en scène et comédienne lausannoise d’origine française vient de créer Irina, l’histoire vraie d’une enfant placée qu’elle connaît très bien.
La romancière empoigne l’Histoire et la chevauche. Le diable parle toutes les langues séduit par son aspect picaresque et sidère par la peinture d’un vendeur d’armes qui mangea à tous les...
Basé à Lausanne, le cinéaste italien navigue à la lisière entre documentaire et fiction. Son deuxième long métrage Il mio corpo sort enfin dans les salles suisses.
Le poète et musicien lausannois sort en vinyle une version remaniée de ses Poèmes de la veille édités l’an dernier. Griot urbain atypique, il a trouvé sa voix.
Quartz du meilleur montage pour Petite Sœur au Prix du cinéma suisse, la jeune trentenaire savoure tout en maintenant son cap: faire respirer les images des autres.
L’art et l’amour, la mémoire et l’oubli sont au cœur de Gloria Vynil. On y retrouve la voix singulière de l’écrivaine jurassienne, sur le fil entre drame et fantaisie.
La chanteuse et rappeuse helvético-ougandaise s’associe au beatmaker Twani sur un album en hommage à Ranavalona, la reine malgache opposante à la colonisation, figure de détermination féminine.
La jeune artiste a démarré sa carrière sur les chapeaux de roue à Lausanne. Mais le Covid-19 lui a coupé l’herbe sous le pied. Prix Premio, Malgrés aurait dû être présenté à Sévelin.
Dans La Vengeance m’appartient, elle nous plonge au cœur de mémoires flottantes et d’une vérité qui s’évapore aussitôt qu’on croit la saisir. Suspense.
Brillante programmatrice et animatrice, elle attend impatiemment le retour de son public au cinéma Royal à Sainte-Croix (VD), qui souffle cette année ses 90 bougies.