Sarah Benslimane, ce qui brille et au-delà
Associant objets achetés en ligne, concept et simulacre, la plasticienne élabore un art à part, où s’immisce aussi le présent. A découvrir au Palais de l’Athénée, à Genève.
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Associant objets achetés en ligne, concept et simulacre, la plasticienne élabore un art à part, où s’immisce aussi le présent. A découvrir au Palais de l’Athénée, à Genève.
Coordinatrice d’intimité, la Genevoise chorégraphie les scènes délicates et veille à l’intégrité des comédien·nes sur les plateaux de tournage. Une pratique récente, qui peine encore à s’imposer.
Arrivé à Genève il y a dix ans, le jeune Afghan y a découvert céramique et sculpture. A voir au bord du lac, l’une de ses cocréations évoque la vie devenue trop dure.
A l’Arsenic, à Lausanne, la performeuse «relayeuse de pensées» dévoile son nouvel essai parlé, Maledizione, autour du contrôle du corps des femmes, entres autres thèmes.
A la Biennale Son, il va parler du corps pendant six heures. Mais on pourrait écouter bien plus longtemps encore l’historien de la médecine et poète.
Comment raconter par les sons l’activité d’une des plus vieilles fonderies de cloches d’Europe? L’artiste grec Dimitris Kariofilis s’y emploie dans une pièce sonore jouée ce vendredi au LUFF, à Lausanne.
La Parisienne d’adoption met en scène un couple mixte confronté à la violence de son jeune fils dans Il pleut sur la parade, un premier roman remarquable.